INTRODUCCIÓN

Mi nombre es Angela y conoci a LadyAxR hace un tiempo a traves de algo que tenemos en comun, nos encanta la serie Xena Warrior Princess. Sus relatos me hicieron sentir y eso me hizo que les comentara a mis amigos, ellos me pidieron sus relatos para leerlos y coincidieron conmigo. Asi que decidimos crear este club sobre ella, sere la encargada de llevarlo aunque mis amigos me ayudaran de vez en cuando. Te damos la bienvenida y esperamos que tu tambien leas sus relatos.

Angela.

Tanks You.....

Thanks primarily to LadyAxR for having replied to the e-mail, the truth is that you never imagined you would....

" I do not like these deserve as much as you are working for me but I feel blessed for having made feel with my stories, I think they have very sweet fan of Lucy and Renee, with great respect that I do ..... "

These stories are good and a good writer who sent us but we will not publish respect for her. On behalf of all want to thank us Misslane who kindly responded to our request soon banner, thanks and hope to keep contact with you, does a great job, is an artist. Thanks to all those we have asked translations in Greek and some other languages .... time, little by little they will soon published many more .....

Heather.

miércoles, 25 de febrero de 2009

(French) EN COMBATTANT PAR L'AMOUR

EN COMBATTANT PAR L'AMOUR
(Par LadyAxR)

Il a sonné mon téléphone, surveillez l'horloge, il était tard les 2 H du matin, celui qui est à ces heures ?. J'ai décroché et à l'autre côté une voix légère je me parle.
- Ren, j'ai besoin de ton aide
- Daisy ? , qu'y a-t-il… ?
- Je n'ai pas beaucoup de temps. Je me parle presque dans un susurro-. - Je suis mauvais, nous sommes mauvais
- Mais… où ? -. A commencé mon désespoir, il se lève du lit d'un saut, l'écoutez toser et quejarse-. - Dime Dai… que passe ? Où celles-ci ? -. J'ai seulement reçu du silence par réponse. - Parle Dai, où celles-ci ?
- Pas lui… on voit seulement des arbres… sommes blessées… Ren… ayúdanos… ma mère… quelqu'un nous fait de la route… allions… allait…
- Où ? , j'ai donné Dai où ? -. Mes larmes sont sorties de mes yeux, me désespérez, il me sentait impotent mais devait me calmer, il devait obtenir qu'il me dise où il était. - Escúchame affection, j'ai besoin de savoir où vous êtes pour aller à buscaros pour…
- Nous allions en direction de maison de mon Abi amical et… et… quelqu'un je nous pousse à… -. J'ai rapidement pensé les lieux proches et étaient d'immenses forêts
- Écoute, ne vous préoccupez pas, je toi vais aider, cálmate, mantente il réveille, elle envoie une ambulance, qu' il écoute… ne cessez pas de se parler moi
- N'conviens pas mon corps….ai du froid… ma mère… ne se déplace pas… Ren-. Tosió récemment. - Ayúdanos… par faveur… -. Je me suis entretemps habillé baissez en courant appeler avec l'autre téléphone de ma maison à la policier, il le continuait à parler il voulait la maintenir il réveille
- Háblame Dai, dime quelque chose, cuéntame une histoire. Il se monte déjà dans ma voiture. - Vue je suis déjà en chemin précieuse et l'ambulance va déjà pour là
- Non… je peux… je suis… mo' il endommage… Ren… Ren…
- Hey… attente….dime….-. L'appel a été accroché, le pi pi je me désespère et conduisait avec rapidité, j'ai vu à l'ambulance que mo'arrivait la même fois qu'et la policier derrière nous.
Baissez de la voiture, il criait désespérée en cherchant par une cette grande forêt. La policier acordono la zone et a commencé la cherche, une cherche désespérée qui n'apparaissait pas rien. Mes pleurs ont augmenté, mais couraient dans cherchent de de pouvoir les trouver. Un agent de la policier après 20 minutes a trouvé une trace que nous suivons et arrivons jusqu'à la voiture, en voyant une scène qu'il imagine jamais voir dans ma vie. La voiture vu le retour, était à l'intérieur Dai, inconciente, m'approchez et ne réagissait pas. Un médecin je me écarte et suis tombé au sol. Il essayait reanimar la tandis que je voyais la scène impotente de de ne pas pouvoir faire rien. Un autre cri médical qui avait trouvé à une autre personne, se lève rapide et je l'ai vue. Lucy était bouche inerte vers le bas. Mon corps je suis altéré et ai été couru à son côté. Ils ne m'ont pas laissé s'approcher moi tandis qu'un policier me retenait et il me jetait vers en arrière en calmant mon nerviosismo.
Un heure ensuite il suivait dans la salle d'attente de l'hôpital où ils avaient été transférés sans recevoir des nouvelles. Appelez à ma maison et réponds à ma mère, lui je ai compté ce qui s'était produit et m'il a dit que m' il tranquillise qu'elle veillait à mes fils. Appelez ensuite à maison de Lucy il devait informer la situation, à sa mère, laquelle très nerveuse m'a dit qu'elle arriverait rapidement.
- Comme celle-ci ? , où ? -. Mo'il saluait sa mère en entrant à la salle d'attente
- Encore non se rien….le médecin ne m'a dit rien, continue à attendre Madame
- J'irai voir qu'ils me disent
- Elle ils vont envoyer pour ici Madame….je l'ai déjà traité et… -. Je n'attends pas salio dans il cherche d'un médecin, je ne tarde pas à retourner sans nouvelles
- Venez….siéntese ici. Lui indiquez une chaise. - Je lui apporterai un café…
- Ren me n'avoir envie de rien, la vérité je ne peux pas avaler rien
- Bon je le lui apporte, fais la tentative. Il ne tarde pas à retourner, il pleurait, laissez le café dans une petite table proche et l'embrassez. - Madame ne te préoccupe pas, il va déjà voir que toute celle-ci bien, doivent de…
- Famille Lawless ? -. Les deux nous nous levons dans l'acte
- Si, je suis sa mère, comme sont docteur ? , comme est ma fille et petite-fille ? -. Impatient nous voulions savoir tout
- Madame, bon….nous avons dû opérer… toutes les deux ils sont bien, peu à peu ils sont reconstitués mais porterait du temps, nous devons attendre de voir leur réaction
- Mais qui l'a été ce qui passe ? Pourquoi… -. Je suis intervenu dans la conversation
- Celui qui es ?
- Une ami de la famille très chère. Je réponds à la mère de Lucy mirándome-. - J'autorise que vous elle disiez tout comme en ce qui concerne ma fille et petite-fille
- Comme vous souhaitiez Madame. Le médecin m'a légèrement sourie. - En fin comme elles leur disait ils sont hors de danger mais devons attendre pour voir comme ils réagissent, sa fille Lucy a été celle qui suis portée la pire partie en sortant écartée de la voiture et en étant frappé son corps contre un arbre…
Après tout le diagnostic le médecin nous j'indique que nous ne devions pas rester cette nuit, que nous nous irions reposer que nous saurions demain davantage de sur leur situation. Nous n'avons pas voulu les laisser et seulement il nous nous a permises de rester à à un, nous arrivons à l'accord qui je resterais, les enfants de Lucy étaient avec une fille mais devaient être assurés par leur grand-mère. Avant d'être allé la Madame j'entre les voir. Ses pleurs n'ont pas été faits attendre en entrant dans la chambre de sa fille. En la voyant avec beaucoup de tubes reliée et toute frappée dans sa face. La portez à sa maison et je lui ai dit qu'on ne se préoccupe pas que je l'appellerais par toute nouvelle situation. Je suis retourné à l'hôpital, après avoir informé maison de la situation qui plus tranquille ma mère reste, en sachant qu'elle est dans l'hôpital cette nuit.
Entretemps mo'il prenait mon quatrième café en surveillant par la fenêtre, surveillez mon horloge et étaient les 6 H du matin, peu à peu le jour est apparu, écoutez gémi, me tournez en laissant dans le poyete de la fenêtre le café, j'ai vu à Daisy se déplacer, m'approchez à à elle.
- Bonjour petite. Elle a lentement ouvert ses yeux, le sonreí-. - Allez panique tu m'as donné eh, comme t'assieds-tu ? -. Son prudente je brille. - Attente, je vais chercher au médecin
Je suis sorti de la chambre, et nous arrivons une paire de minutes ensuite, le médecin de la s'est occupé en lui enlevant le tube et en reconnaissant, avant d'être allé il me lui a dite que lentement il réagit, qui aurait de la patience mais que l'obtiendrait. Appelez à sa grand-mère et j'ai dit, elle je me réponds qu'il arriverait rapidement qu'il marchait chercher où laisser bien aux enfants. Il était de la chambre demandez par Lucy au médecin, qui était dans le lit d' au côté de sa fille mais il ne réagissait pas, il ne m'a pas répondue, seulement que nous avions attendre.
Dai essayait de parler, mo'il saisissait la main avec force mais le coûtaient, ses pleurs salio quand je tournerai sa face et ont vu à sa mère. La tranquillisez tandis qu'il le parlait en lui disant qu'elle on trouvait bien qu'il ne soit pas préoccupé. Sa grand-mère j'arrive moyenne heure ensuite et en nous arrangeant des horaires ou était passés une semaine, que Daisy déjà moyenne récupérée seulement avec des hématomes, lui ont donnée le haut, chose que à Lucy nous n'avons pas eu la même chance, elle suivait sans réagir.
Annulez tout mon travail, il ne pouvait pas la laisser en cet état, il ne voulait pas, convenue à son côté dans une chaise le il prenait sa main, un jour après un autre, espérant son réveiller, la lisait des livres, il lui comptait des choses de mon jour.
- Bon jours Ren-. Daisy arrive avec café dans ses mains, il m'a offert un que j'ai remercié. - interdisez reposer à maison, je reste déjà
- J'ai pensé rester mo'un peu plus
- Ren celles-ci épuisée, tu dois reposer, tranquille je t'informe avec ce qu'il est. Je me prends de la main
- Ton comme t'assieds-tu ? -. Surveillez sa face, encore tenia grands demeurés
- Ou, on voit plus qu'une autre chose, mais je m'assieds ou avec les calmants
- Il me donne goût
- Par certain avec je n'ai pas tant pu darte les remerciements, Ren tu as été notre ange merci pour l'aide et par…
- Hey nage de merci vaut….
Après m'avoir prise le café Marche à maison, Daisy je reste avec sa mère. Arrivez à maison, j'ai vu à mes fils puisque dans cette semaine dès qu'il les avait vus, ma mère je me prépare dîner et nous avons ensemble mangé, elle était épuisée et soyez rendue dans le lit. Avant de me dormir ils ont appelé, ma mère mo'est passée l'appel.
- Dites-vous ?
- Il sera jamais le tien ni de de personne, avant que cela se produise vais à matarla-. La voix trasformada de de quelqu'un me menaçait
Mais que des démons était cela ? , mère se lève en le luile comptant, elle m'a recommandé d'appeler à la policier, mais ai pensé qu' elle n'aurait pas cas le faire, seulement ça a été une menace téléphonique, mais déjà je n'ai pas bien pu reposer, celui qui voudrait tuer et pourquoi ? , il devait être quelqu'un que voulait alarmer je, je n'ai pas fait cas.
Un semaine ensuite, récemment mon téléphone je m'effraye en moitié de la nuit, il était Daisy, grâce à Dieu sa mère avait réveillé, je me suis habillé en courant et suis allé à l'hôpital. Quand il entrera dans la chambre, Daisy était avec sa mère, adaptée dans le lit, en lui parlant.
- Ils voient Renee, ils voient acércate-. Daisy avec un grand sourire. - Le médecin a dit que c'est déjà temps qui cette preciosura est levé. Je surveille à sa mère, m'approchez et ai vu ses yeux bleus ouverts, en essayant de sourire, elle était tellement belle, que mes larmes sont sorties de bonheur
- Hola….bienvenu amicale. M'approchez en le prenant de la main. - Allez panique tu nous as données. Elle sonreía, sa face encore gonflée par les coups reçus, mais pour mon était encore tellement précieuse comme toujours
- Je te laisse dans de bonnes mains mère, je vais par un café. Je suis sorti avec Daisy-. - Le médecin dit qu'il soit lentement récupéré, elle on emmène la pire partie mais qui sortira bien de de celle-ci, Renee ses jambes sont assez blessées mais….-. Ses pleurs salio, l'embrassez
- Escúchame, elle allons aider, il va être mis ou, pas toi éboulements maintenant Daisy, elle a besoin que nous soyons ou, qui nous voit ou pour l'encourager
- Lui , lui, il est pardonné, mais est que me voir l'ainsi par…
- Je te comprends déjà, mais tout passerait, venez il voit par le café que je reste
Entre dans la chambre et elle moi sonreía, me suis assise avec elle, en lui prenant la main.
- Qui tel ces grandullona ? , que panique tu m'as donnée eh ? , tu ne le fais pas à nouveau plus
- Ren, Daisy m'a compté ce qui s'était produit, ne le rappelle pas bien, mais….si… si… je me rappelle de de quelque chose… de ta voix… il m'a déjà dit Daisy qui as été ici tout le temps et qui me parlais et GR….
- Je ne veux pas que tu me remercies amicale….s'il vous plaît, je l'ai fait avec goût, mais laissons cela, à voir, cuéntame comme tu t'assieds
- Ou, dans tout ou, le médecin m'a dit que bientôt je sortirai de d'ici et l'est ce qui attends pourquoi je n'aime pas être dans l'hôpital
- Si, tu sales sûrement tôt, tu dois seulement avoir de la patience et….-. Il a commencé à pleurer, il se lève et m'approchez plus à à elle. - Ne pleurez pas ami. La surveillez fixement aux yeux tandis qu'il enlevait les deux larmes de ses joues. - Tout va bien sortir , tu vais déjà voir que si, tu dois être fort pour recuperarte tôt, nous devons aller à la plage… -. On enlève la feuille en me montrant son corps inférieur, ses jambes étaient toutes amoratadas, sans mouvement, son estomac tenia une grande blessure profonde, provoquée d'un fer de la voiture, mes larmes ont voulu sortir mais ne pouvait pas, non en ce moment
- Crois-tu que peux-je ainsi aller à un certain côté ?
- Si, pourquoi si je manque serai tes jambes, jusqu'sérieuse à tes yeux, est ta vie elle-même si elle était nécessaire. Lucy, le médecin a dit qu'il est lent mais tu récupères et lui nous allons ensemble faire dea prudent ? -. Le sonreí, elle a répondu récemment en baissant son regard et en étant couvert avec la feuille. - Voir ami, je ne peux pas croire que toi moi rindas, ton tu es une femme forte et ensemble lui nous allons obtenir, donc je ne veuille pas de faces tristes bon ? , déjate de sensiblerías que nous avons beaucoup travail pour faire, quand iront donner l'incorporation ?
- Renee… mais…
- Quand ?
- Non , je n'ai pas été dit encore
- Bon, parce que je vais tôt préparer ta maison pour llevarte et commencer avec ta récupération, toi je ne vais jamais laisser seule et….
- Attente… attente. Il a souri. - Hey, ces loquita péchez jaja…
- Non… seulement que je souhaite que… tu sortes de ce lit pourquoi nous avons besoin d'une plus grande jaja, est que nous n'entrons pas bien les deux jaja
- Merci amicale… je remercie ce que tu fais par mon… moi que tu enchantes quand tu me feras rire et en parlant tes folies…
- Ah… maintenant bon moi flammes folle… jaja… bon, je ne suis pas celle qui suis de de vague ici renversée, ainsi que pas tu moi rindas et en haut
- Si… tu as raison….je vais sortir de de celle-ci…
- Ainsi il est, ainsi on parle….bien demain dans ta maison je….
- Ren, tu ne parleras pas dans sérieux de ma maison et….
- Il est évident que si, bon en supposant que tu me permettes et m'acceptez
- Mais tu… dois… bon… ton travail et ta famille… tu dois….
- Lucy-. Je me suis assis dans la chaise sans cesser de prendre sa main. - Nous sommes amicales depuis beaucoup… nous avons partagé beaucoup, tant bon comme mauvais….et il voudrait cuidarte, je veux ayudarte, si me le permets déjà… en ce qui concerne mon travail l'ai résolu et mes fils sont bien avec ma mère, ne crois pas qu'il y ait des problèmes, bon il y a un problème, si ton tu ne me laisses pas
- Donc… si… par mon il n'y a pas problème, ton tu sais que tu es bienvenu maison pourvu que tu veuilles mais ne veuille pas que tu changes ta vie par mon
- Ma vie tu es maintenant toi. Moi salio sans, ainsi je l'ai senti plus, penser la perdre tout ce par temps me m'a faite mourir, il maintenant ne la laisserait maintenant pas, non, il voulait être à son côté. Elle me surveillait, ne cessait pas de le faire et je me suis fait honte par cette phrase que je salio de mon coeur. - Lucy, s'il vous plaît, tu ne t'as rendue compte peut-être jamais dont… tu es mon ami… tu ne me sépares pas maintenant
- Je ne veux pas apartarte Ren, et je te remercie ce que tu fais par mon, merci, et si, prépare tout ce que tu veux dans ma maison, vente avec nous, il est seulement qui ta vie donnera un changement et…
- Par Dieu, qui tel si tu me laisses le changement de ma vie
Entre Daisy en ce moment et sa mère lui a compté ce qui est décidé par toutes les deux, elle me réjouis beaucoup….la maison était j'entrions grandement et parfaitement tous à la perfection, ses fils, sa grand-mère, elle, sa mère et, nouveau locataire qui selon elle me sentais heureux pour m'avoir avec eux. Le haut le lui ont donné deux jours ensuite non par le médecin puisqu'il a insisté sur le fait qu'il reste encore dans l'hôpital mais elle ne voulait déjà pas être dans ce lieu, voulait être avec sa famille en maison. Dai et j'avons mis son dortoir, son gymnase et une certaine chambre plus avec des installations adéquates pour sa récupération, et le médecin je nous indique toutes les médecines nécessaires et il nous a recommandé un infirmier spécialisé pour que nous aide par des heures, Dai le contrat.
La maison de Lucy était grande, de deux plantes, en haut étaient les dortoirs principaux, celui de d'elle, celui de Dai, celui de ses frères, chaque quel avec un et celui de sa mère. Dans la plante d'il était vers le bas le salon, la cuisine, un bain complet, le gymnase, une cour équipée ses chaises respectives et une table avec une barbacoa et deux dortoirs pour hôtes. Dans la partie de de dehors, tenia une grande piscine et autre petite, un grand jardin avec des fleurs précieuses et une petite piste de basket pour que ses fils jouent. La maison possédait une grande vue vers la ville parce qu'elle était trouvé sur une montagne. Soyez installée dans un des dortoirs d'hôtes.
En portant ou une semaine dans sa maison, tout allait ou, peu à peu à elle réagissait déjà, l'infirmier était une femme gentille et bonne. Son nom, Amelia bien qu'elle nous appelions par Amy, célibataire et avec un fiancé qui le vers souffrir par ses zèles, venia par des heures et nous aidait avec l'exercice aquatiques et avec les médecines. Dai a travaillé à nouveau et retournait rapide pour m'aider avec sa mère. Je, appelais à mes fils tous les jours et les voyait un jour si et un autre non. Parfois Lucy était désespéré et était pleuré ou il nous criait, il était enfoncé mais il l'encourageait dans mes possibilités. Amy n'arrivait pas et il lui touchait sa session de déplacer les jambes dans les barres.
- Lucy, guapetona nous allons. Il le disait en entrant dans sa chambre
- Par lequel te tracasses-tu Renee ? , pourquoi ? , je ne vais jamais sortir de cette chaise malditoe. Je frappe les bras de la chaise roulante à
- No digas eso, venga Amy no llega pero iremos comenzando-. Saisissez la chaise et la dirigez au gymnase, nous arrivons. - Ils voient, apóyate dans moi. La prenez de la ceinture et elle suis saisie col, la placez dans les deux barres, je me suis calme
- Non, Renee, je ne veux pas le faire, je suis fatiguée, je ne vais jamais à…
- Lucy, il y a une semaine tu ne marchais pas rien, ni tellement au moins tu te déplaçais et maintenant tu te maintiens, et marches, lent mais le fais, ne vous plaignez pas et haz l'effort
- Qui ne se plaint pas ? , il est très facile de dire ton que ces superbe, que litières et que tu t'assieds superbement, mais je… mírame Renee-. Je me crie. - Seulement mírame, malditoe il est, je suis un inutile, je suis un…
- Lucy s'il vous plaît, déjà, s'il vous plaît, seulement ton tu dois faire l'effort, si ton lui tu ne fais par personne lui il va faire par toi
- Cela déjà lui se. Ses cris ont augmenté, je n'aimais pas écouter la parler ainsi ni qu' il nous traiterait de cette manière aux gens que nous étions avec elle, que nous lui voulions, que nous soutenions pour la sortir de cette situation angoissante où il était trouvé. - Renee déjà se que personne ne fait rien par mon et sais qu' il ne m'importe pas, il est d'autre lárgate-. Cri. Lárgate ne veux pas verte, suis fatigué de duquel tu es sur mon, de duquel moi tu rends ces dîners stupides, dont tu me parles et me comptez des choses inutiles, se que je ne vais jamais me récupérer donc aucun plan de desquels moi comptes nous allons effectuer, n'interdise. M'approchez à à elle
- Si, ils ne vont pas être faits pourquoi ton tu ne veux pas que…
- Que tu te vais….-. Cri mise en fureur en me donnant une gifle, toutes les deux nous restons en silence, en nous surveillant aux yeux, il avait jamais fait cela, ses yeux ont été attristés mais étaient encore provocants, on me s'est seulement produit….
- Crois-tu qu'en donnant de la pitié ou en la collant vais-tu obtenir plus ? ….Lucy, ta situation est difficile moi l'imagine mais pense tes fils, ils sont lui plus importante et cette manière de comportarte n'est pas bonne pour eux, si ne veux pas le faire par toi hazlo par eux, le lui ils se méritent, se méritent à une mère forte, lutteur, ton tu étais ainsi et maintenant es un vieux chiffon, maintenant non bons rien avec cette attitude. Dime Lucy… t'assieds-tu bien en collant ? , t'assieds-tu mieux ainsi ? , pourquoi si est ainsi pégame récemment si ainsi le souhaites, mais c'est pourquoi tu ne vais pas récupérer tes forces, cela seulement le feras en combattant et en rendant ce qui est ordonné par le médecin, ou….veux-tu provoquer qu'aille-t-il ? , qu'abandonnons-nous ? , veux-tu que tes chers êtres s'éloignent de de ? , pourquoi cela jamais lui tu ne vais obtenir, donc haz ce que tu veux mais cela il ne doit pas ainsi être, en outre le rôle de victime toi ne reste pas, commence à marcher. Ne cessez pas de la surveiller, j'ai pensé que celui-là était la meilleure manière, elle la connaissait et cela la ferait réagir, si elle voulait m'a défiée allais le lui donner, me n'allait pas jeter pour en arrière.
- Tu es mauvaise Renee, tu es mauvaise, et veux que tu te lâches de ma maison en ce moment je te haïr avec toute mon âme. Son regard s'est converti frit, il ne me m'importait pas il n'allait pas rendre, elle il voulait par trop comme pour l'abandonner
- Veux-tu qu'aille-t-il ? , dans sérieux veux-tu cela ?
- Si
- Bien, parfait, si cela l'est ce que tu veux il commence à marcher. Son regard a été dérangé. - Sais déjà ami, si tu veux que moi…
- Moi n'appelez pas ami, tu es un être diabolique. Cri tandis que récemment traitement de me gifler, chose qu'il évite en lui arrêtant la main, en la surveillant de près, de tellement près que souhaitez l'embrasser….embrasser ? , mais….? , non….cela non….il passait tant que mon coeur a commencé à sentir par elle….qui ? ….qui a été cette sensation dans mon ? ….il retournait moi fou, elle moi gagnait la bataille, je me suis senti faible en ce moment
- … Il cesse déjà de faire des bêtises et marche d'une bonne fois, il met un terme les exercices nous n'avons pas du temps pour que maintenant toi comportements comme enfant Lucy, nous allions. Je lui ai détaché la main, elle je jette en arrière et a perdu son équilibre, évitez sa chute en la saisissant par la ceinture en l'attirant vers mon. Il ne baissait pas son regard, elle je me pénètre avec son regard bleu, surveillez au sol. - Tu te vois… presque…
- Suéltame et déjame, veux…
- Lucy par faveur. Ma voix a demandé, cette situation me désespérait et déjà ne voulait pas la souffrir plus, mes forces étaient épuisées, elle ce qui est bien connu
- Lui conviens par Renee, je l'consigne….-. Entre Amy par la porte
- Conviens le retard, huy… qu'est passé ? -. Je m'approche m'aider rapidement et place à Lucy debout, elle je saisis l'autre barre et il a été maintenu
- Il nage. Il a ajouté mirándola-. - Il n'est passé rien…. pourquoi devait passer quelque chose ? , pourquoi ton retard ?
- Amy-. J'ai ajouté. - Je dois aller au bain, quédate avec Lucy, je retourne dans rapprochée. Il voulait sortir de de là, elle me sentait suffoquée, mon corps brûlait et était de de quelque chose qui n'imagine jamais par ma meilleure ami, passion.
Il me surveillait au miroir et voyait tomber mes larmes, la situation me désespérait, tombait dans un puits sans fonds et maintenant cette sensation, cette affection qui avait augmenté, qui était devenu amour, mon reflet dans le miroir niait ce qui était pensé, mais ne pouvait pas tromper coeur, il se lave la face avec eau, il ne voulait pas que personne ne remarque mes pleurs, mes yeux clairs étaient rouges, me séchez bien avec la serviette et moi maquillez un peu pour les couvrir, je suis sorti….en me dirigeant au gymnase, en entrant j'ai vu récemment à Amy qu'avait déjà fini les exercices des barres et tenia à Lucy renversée dans le matelas étroit en la déplaçant les jambes, elle m'approche à à elles et continuons les exercices, il remarquait son regard, mais il ne m'osait pas la surveiller aux yeux, il ne voulait pas ni souhaitait le faire. Après cela nous nous allons à la piscine à rendre les exercices aquatiques, en la finissant nous préparons pour une nouvelle nuit où je lui ai fait le dîner pour elle et sa famille, donc j'ai écarté à Amy, pour l'attendre de nouveau demain.
Dai a apporté avec elle à ses frères de leurs activités parascolaires et la mère de Lucy j'arrive non très tard après eux, Lucy était déjà adapté à la table pour dîner. Portez le repas avec l'aide de Dai….Le dîner ce n'a été différent pour aucun ce que j'ai pu vérifier, mais pour mon s'il l'a été, je me suis senti intimidée, je me suis senti éloigné, il me mourait lentement et mes sentiments étaient confondus, cela je ne m'aime pas, le téléphone a sonné, l'appel moi le pas Dai.
- Si ?
- Fille….je suis poitrine, j'ai besoin hablarte
- Dime mère, qu'est passé ?
- Je préfère qu'il est personnellement….tu peux venir après que tu dînes, il m'a déjà dit Daisy qui le faisiez, je dois parler avec toi
- Clairement, écoute ne tarde pas beaucoup de dame une heure
- Parfait, il t'attende, au revoir
- Jusqu' à ensuite. J'ai accroché, tous m'ont surveillée dans l'attente de dire qu'il passait. - Ma mère. Sonreí-. - Je veux se parler moi de de quelque chose, je dois aller maison, Lucy ne tarde pas irai et retourne rapidement, j'attends il n'est pas incommode
- Non, tranquille, il voit, ma fille s'aide déjà à….-. Il me disait sans lever son regard de sa plaque. - Elle me coucherait
Al acabar, quise recoger la cocina algo que Dai me impidió y me marche hacia mi casa, no sentía una gran preocupación si hubiera sido algo malo mi madre me había dicho rápidamente pero me extraño ese tipo de llamada, no era normal en ella. EN arrivant ma mère m'a reçue dans le salon, mes fils dormaient déjà, il m'a demandé siège dans le sofa, en me disant que lui était apparus des problèmes avec son affaire et qu'il devait s'absenter pour un mois, qui ne pouvait pas éviter ce qui s'était produit et qui ne pouvait pas veiller à mes fils. Me soyez touchée avec ces nouvelles… et maintenant qui vers ? , comme… ? , il ne pourrait pas continuer à veiller à Lucy, dans cette situation non, il devait la laisser, il ne voulait pas et beaucoup moins mon coeur bien qu'en le pensant bien s'il me l'éloignait de d'elle plus probable soit que mes sentiments soient établis à nouveau. Mais il ne souhaitait pas la laisser, il voulait être à son côté, je l'ai promis et devait accomplir, il était dans un grand dilemme. Ma mère partait à midi de de demain, elle m'a recommandé de m'emmène à mes fils à maison de Lucy, mais trop seriamos, je ne crois pas qu'elle accepte.
La vérité moi n'attendez pas la réaction de d'elle, Lucy malgré la discussion et dont il m'avait jetée de sa maison, son caractère changement, j'accepte déjà à mes fils et une semaine nous avions vécu tous ensemble. Daisy et sa grand-mère ont décidé de porter aux garçons un week-end de vacances et mo'il a bien paru, cette semaine précédente ça avait été une folie entre tous et les enfants méritaient de petites vacances. Nous nous serions seules avec Amy qui continuait à accomplir son horaire, bien que dans ce week-end d'absence de Daisy elle reste à passer la nuit avec nous. Lucy marchait déjà avec canne et ses jambes avaient de la mobilité, ses mauves avaient déjà disparu et cela m'a rendue heureux, il ne lui restait pas beaucoup pour venir de récupérer, il pensait parfois que cela se ferait retourner à maison, une maison qui sentirait vide, puisqu' elle m'avait habituée à tout le chahut dont là nous vivions, avait besoin un repos, mais lui il étonnerait dans le futur, par un futur qu'il ne voyait pas loin.
Nous écartons aux garçons dans l'après-midi et la nuit se nous fait en haut, nous dînons et Amy j'arrive pour passer la nuit. Le jour suivant j'arrive et avec un orage, il surveillait par la fenêtre il me détendait voir l'eau tomber, je suis sorti à l'avant porche et je me suis assis dans une des chaises, sentir le froid frapper dans ma face il me fournissait une relaxation, mes yeux fermés jouissait de cette solitude qui a été interrompue.
- Peux-je acompañarte ? -. J'ai ouvert mes yeux pour voir à Lucy en marchant vers moi, il se lève au moment et m'approchez à à elle. - Ren tranquille je peux seule. Il a été convenu dans la chaise contiguë à à la la mien, une table ronde avec cristal nous séparait, toutes les deux nous nous surveillions à l'avant, en silence, de ce silence couche Amy
- Lucy, je dois sortir une heure
- Il est très tard Amy, à où vais-tu à ces heures ? , l'orage est accru crois que tu ne devrais pas sortir. Elle nous surveillions par les deux, j'ai suivi en silence Lucy était son chef, elle devait le dire
- Lui se, lui se, mais….il est que…
- Ton fiancé, j'imagine, verdad?
- Lui conviens par Lucy, si, est qu'il m'a appelée et….
- Bon bon ne me donnez pas d'autres explications, mais crois que tu ne devrais pas dejarte faire tant par lui, ne te rends-tu pas compte qui seulement utilise ? , mais en fin haz ce que tu crées nécessaire
- Merci je ne retournerai pas tard dans une heure je serai ici
Nous l'avons vue sortir, il était certain, Amy permettait que son fiancé le était infiel, il l'avait laissée plus de une fois qu'et chaque fois qu'il elle l'appelait par courait à son côté à l'aider pourvu qu'il puisse, cela n'était pas bon pour elle et il souffrait et toutes les deux nous le savions, c'était une peine qu'elle accéderait à cette situation pourquoi c'était une bonne femme qui pouvait mieux être obtenue quelque chose. Nous portions déjà un temps dans le porche et a commencé à faire plus du froid.
- Il fait Lucy froid, veux-tu entrer ? -. La surveillez d'avant
- Non, je m'assieds bien ici mais si ton tu veux entrons
- Non, je suis aussi bien mais…. Espérate….-. Il se lève. - Je vais à traerte un veston, je ne veux pas que tu te rendes malade. Marchez passez devant elle et il m'a arrêtée en prenant ma main, la surveillez, elle moi clouait son regard bleu
- Renee….conviens ce qui s'est produit, je l'consigne de coeur, je n'ai jamais voulu….
- Dont parles-tu ?
- De de ce que je passe le jour de….-. Sage à à ce qu'il se référait mais il ne voulait pas parler de de cela
- Lucy, ne vous préoccupez pas, il écoute, espérame que j'entre, je t'apporte le veston et maintenant viens
- Bon. Je me consacre un sourire, il me fascinait la voir sourire, et sage le faire pourquoi cette action me retournait folle
Entre dans la maison et j'ai monté à sa chambre, de l'armoire cogi un petit abri et de nouveau je suis sorti au porche, ma surprise est allée majuscule ne l'ayant pas trouvé….où ouvrait allé ? , elle m'avait dit qu'elle s'attendrait, il entre récemment dans la maison et marche dans son il cherche, il n'était pas dans aucun lieu, il ne la trouvait pas, mais….ouvrait allé à la forêt ? , non… il était de nuit et pleuvait, cette situation n'était pas propre de d'elle, Lucy on n'irait pas ainsi. Suis sortie une autre fois au porche et me désespérez en voyant qu'avec sa chaise il était sa canne, Lucy ne le lui ait laissé jamais, qui était tout cela ? ….criez son nom avec force et n'ai pas obtenu réponse. S'il me voulait dépenser une plaisanterie elle il tuerait, il m'alarmait et cela je n'aimais pas, il commençait à me contrarier, je l'ai crié à nouveau et suivait sans réponse. Entre à la maison, j'ai été à la recherche du téléphone, il n'y avait pas ligne, probablement par la pluie, nous allons Renee, ne vous préoccupez pas, il me disait même, j'ai en haut monté et le criez, il n'apparaissait pas, mais où était-il ouvert mis ?. Écoutez des bruits vers le bas, baissez plus rapide ce qui ai pu, dans la porte principale j'ai vu à un homme, nègre, corpulento, son regard je me pénètre, il ne s'aime pas mais non se pourquoi je suis resté immeuble dans l'escalier.
- Qui êtes et que veux-tu ?
- Le fiancé d'Amy suis Bob, elle m'a dit qu'elle est ici, je veux la voir
- Amy ? ….non, pas celle-ci, est ici sortie, a dit que…
- Parfait. Il a fermé la porte sans laisser de mirarme-. - Je m'aimerais que vous baissiez et elle soit convenu avec moi dans le sofa, il suivait sans moverme-. - Cela lui intéresse de faire ce que je lui dis. Son noire surveillée comme la nuit, son expression diabolique je m'alarme, il allait courir vers la chambre de Lucy, il devait appeler à la policier, je n'aimais pas cette situation, mon corps tremblait et mes nerfs ont augmenté. - Écoutez Renee, si non baisse moins de temps lui reste à son ami
- Dont parles-tu ? , où celle-ci ? , qu'as-tu fait avec ?
- Baisse ici en ce moment et alors lui tu vais examiner. Il m'a montré un appareil avec un bouton rouge. - Ne me faites pas contrarier, je peux t'assurer que tu ne vais pas vouloir qu'il serre le bouton. Sans baissez plus il ne voulait pas que rien le passe à Lucy, je n'ai pas seulement pensé j'ai agi, il arrive près de lui, il était beaucoup plus haut que j'et plus forte, nous asseyons dans la table du salon, un face à l'autre, ne cessait pas de me surveiller et je ne baissais pas non plus mon regard, bien qu'elle soit morte de peur pour ne pas savoir la situation il ne laisserait pas qu' il voie ma peur
- Qui ? , nous sommes déjà ici. que veux-tu de de ? Qu'as-tu fait avec mon ami ?
- Ami ? ….mmmmm ..... si, ami… ton ami…
- Si, où celle-ci ? Qu'as-tu fait avec ? -. Moi désespérait cette situation avec ce malheureux tellement froid, ont face mon, sans à dire m'à rien, sans répondre moi
- Je crois qu'il n'est pas recommendable que tu me parles de cette manière, tu pourrais faire que ton ami meure davantage de rapide. Impassible il me surveillait aux yeux
- ET que tu veux de de nous malditoe il est….pourquoi ? Que veux-tu ? , veux-tu de l'argent ? , il veut…
- No…no quiero nada, lo que quería de ella ya lo he conseguido y lo que no he conseguido lo voy a hacer cuando ella muera
- Maldito abîmé ! , qu'as-tu fait avec Lucy ? -. Criez, en me levant
- Siéntate… -. Ne l'ai pas fait. - Maintenant même. Je me suis assis remarquez dans son regard que sa menace n'était pas dans vain. - Renee… beaucoup de temps j'ai suivi Lucy, depuis qu'ont commencé les enregistrements de la série, je lui ai écrit des lettres, l'appelez, je l'ai photographiée, j'ai perdu toute ma vie pour la suivre, j'ai perdu famille et elle doit payer c'est pourquoi, il doit payer pour me faire sentir ce sentiment de folie que personne à à pu éteindre dans mon, de de cela ton ne dois savoir meilleur ce que personne verdad? ….et moi ne le nie pas, ton ce es autre personne qui consignes la même chose que j'envers elle. Lucy nous a contaminées, il nous a enlevé la raison, il nous a faites sentir force, amour et passion. L'accident je le provoque, mais pas moi salio et avec tes soins et ceux de sa famille il est sorti malheureusement bien en avant, dans plus de une occasion dans l'hôpital j'ai pu mettre un terme sa vie mais il ne me satisfaisait ainsi pas et ensuite ai pensé un jueguito et cette pensée je m'aime plus. Mais il doit maintenant mourir, nous devons s'extirper cette tumeur qui à à tous les deux nous tue.
- Ton ces fou, mais… fou de conclusion, dont parles-tu ? , où celle-ci ? , par faveur elle me l'ai donné,…
- Tu le vois, il t'a extasiada, tu ne peux pas penser une autre chose plus qu'en elle
- Par lesquel est mon amical malheureux, dime, où celle-ci ?
- Pour l'examiner, tu dois ponerte ceci. Il m'a montré une injection, il y avait à l'intérieur une couleur noire liquide
- Qui est cela ? , je ne me vais pas mettre rien jusqu'à ce qu'elle sache que celle-ci bien
- Mo' ils enchantent les jeux et cela l'est ce que nous allons faire, jouer
- Jouer ? -. Je m'étonne cela mais le voulait récupérer à Lucy, seulement il souhaitait cela et qu'elle serait bien, bien que mon esprit je doute pourquoi devant mon tenia à d'un fou obsédé avec elle, il me mourait en pensant que l'il avait fait quelque chose, qui le….non, il ferait ce qu' il voudrait mais avait besoin des essais
- Si, je veux jouer avec toutes les deux, elle celle-ci bien, pour l'instant
- Te j'ai déjà dit que je ne vais pas faire rien si non…
- Vue. Il m'a montré un petit écran, là il était Lucy, il frappait quelque chose, demandait aide le remarquait dans son regard, était alarmée, pleurait, désespérée cayo au sol. - tu vois, elle vit encore, mais si tu ne fais pas ce qu'elle dis il mourra
- Que veux-tu de mon ?
- Dans la série vous évitiez beaucoup de choses, donc il soit déjà heure que vous le mettiez à la pratique
- Ces fou, sommes des actrices, cela n'est pas réel, la vie est différente, nous ne pouvons pas…
- J'espère donc que le fasses pourquoi si elle mourra, ne voudras-tu pas cela vérité ?
- Non… te je jure que si je vis pour le compter par toi je vais tuer avec mes mains propres. Mon regard s'est transformé en défi, en menace, qui accomplirait si elle pouvait dans ce même moment mais il me retenait en ne pas savoir où il était elle enfermée
- Bien, celles-ci sont les règles, Lucy est enfermé dans une partie dans sa propriété, c'est une cavité où a une bombe d'oxygène, un oxygène que colère en disparaissant chaque fois plus, chaque cinq minutes que passe, se colère en la restreignant jusqu'à ce qu' elle mette un terme sa vie. Si tu fais une certaine tentative pour s'enfuir ou d'appeler à la policier, il pousse le bouton rouge de cet appareil et on lui ira le j'oxygène de coup en mourant noyée. L'injection est pour que tu te la mettes, en elle il y ait un poison mortel, dans une heure tu mourras si tu ne parviens pas à arriver jusqu'à elle, où Lucy est trouvé il y a un antidote qui clavándotelo dans le coeur arrêtera le poison et survivras, il prend… -. Il m'a donné ce qui est pantallita où il la voyait souffrir. - Llévate ceci, par si tu n'arrives pas avec elle au moins dernier ce qui vois qu'il est sa face, cette liste ?
- Mais….-. Je ne sortais pas de mon étonnement, cet homme tenia un esprit pervers et le pire de de tout était qu'il jouissait avec cette situation. - Si n'obtiens pas que passe-t-il avec ?
- Il mourra tout comme ton et si l'obtiens survivrez toutes les deux, bien que je doute de beaucoup qui l'obtiens, non ces prête à combattre par l'amour
- Te tue de de cela il n'y a pas de doute, je le ferai et vais jouir le, quand tout ceci finira
Mo'il a cédé l'injection et en le surveillant aux yeux par moi l'injectez dans mes venas du bras droit, il a été rapide, j'ai commencé à sentir un grande punzada dans mon coeur, et mes muscles ont fait une réaction en étant accéléré, bien qu'étant adaptée j'ai senti mes jambes être affaibli. Il je me lève et avec un sourire diabolique, il a été écarté, en disant que m'il me donne de la rapidité qui finirait rapide si pas lui vers. Je l'ai vu sortir par la porte et il se lève rapidement, arrivez à la cuisine, je suis retourné au salon, j'ai monté en haut et vers le bas des escaliers, les cherchait, il cherchait quelque chose qui ne trouverait pas en vue, surveille l'écran et il la voyait, c'était un lieu obscur, il ne devait pas me dépêcher, il devait penser et me fixer bien dans l'image de d'elle, pour voir si me la donnait des pistes mais elle était renversée dans le sol, il ne se déplaçait pas. Me detuve en mitad del salón, de un cajón cogi un reloj y me lo puse poniendo una cuenta atrás, solo me quedaban 40 minutos.
Allons ami, allons, dime, muévete dime lesquel lieu celles-ci, pensait tandis qu'il la voyait renversée dans le sol du lieu où il était trouvé. Surveillez autour à toute la maison, je suis sorti à la cour, la propriété de Lucy était grande, pensait, cela tenia faire penser et calculer où elle pourrait être, il ne pouvait pas me mettre à chercher follement ainsi il n'obtiendrait rien. Vi que ella se levanto, mi Lucy se levanto caminando a lo que era una puerta de metal, oscuridad, metal, el sótano, debía estar en el sótano de la casa. J'ai rapidement couru vers le lieu, baissez les escaliers et cherchez mais ne trouvez pas rien, soyez calme dans le centre et visualisez, il y avait une grande chaudière et vieille sans utiliser, des choses des garçons de Lucy, une armoire fermée avec clé, je l'ai forcé, en étant ouvert je me suis extrêmement surpris .
Était plein photographies, objets, des coupures de presse et beaucoup de choses davantage de sur la série Xena, sur cette époque, j'ai vu un carnet dont le titre portait « AMOUR ? ». Je l'ai ouvert, c'était la lettre de Lucy.
« Je l'ai connue enfin….après avoir tant attendu je l'ai surveillée face à avant et son regard m'a capturée »
Avance quelques pages
« Moi j'ai senti aujourd'hui très tendue dans le rodage, j'ai dû faire une scène laquelle m'a énormémenténormement satisfaite, je crois qu' elle se rend compte et cela ne le souhaite pas »
Avance autres pages plus….! Dieu le mien, ne pouvait pas croire ce qu'il lisait
« Mon coeur combat contre mon esprit dans ce jour, elle m'a dit que cette femme enceinte, j'ai feint bonheur mais m'a détruit les nouvelles le fait que ce taux le contact chaque nuit tandis que je me meurs par elle, tandis que je de l'ai besoin, tandis que je me désespère étant avec elle »
Avance plus….
« Ami….te je ai besoin….je veux abrazarte….je veux posséder ce corps qui me retourne fou chaque fois que le vois quand tu te changeras dans camerinos. Je combats contre ce feu qui me naît dans elles entraînes mais déjà ne supporte pas plus….que je n'aurai pas valeur pour decírtelo personnellement mais ici moi décharge ..... JE T'AIME RENEE T'ON VEUT »
Mes yeux sont restés dans celui-là conclut phrase….il ne pouvait pas le croire mais sa lettre était certaine, était, Lucy m'aimait et il ne m'a jamais dit rien, qu'idiot avait été, j'aussi l'aimais et maintenant allait la perdre. Non, il ne laisserait pas qu'il passe, il devait continuer à la chercher. Je suis tombé au sol, mes jambes m'ont prononcée, surveille l'horloge, que je restaient 18 minutes, il mourait, il avait besoin de me lever, tenia le faire. Surveillez l'écran, elle continuait à essayer de sortir par la porte, il la frappait. Il était étrange que si elle me frappait je ne l'écouterais pas puisqu'il était dans la cave, il devait écouter quelque chose.
Il se lève et me soutenez dans la paroi, elle j'ai surveillé à nouveau et quelque chose nouveau s'est produit dans l'image, dans sa face cayo eau, lui tombaient baisses d'eau qui elle me écarte en surveillant vers le haut. Eau ? , cela est….qu'idiot était, comme il ne l'avait pas pensé avant, la cavité de la piscine, où il était les tuyauteries. Ai monté en courant les escaliers de la cave, suis sortis de la maison et je me suis adressé au lieu, les minutes passaient et mes forces étaient affaiblies, une sueur froide a parcouru mon avant et ma vision était difficile. J'ai trouvé une première porte ouverte le quel passe et surveille autour, il y avait beaucoup de tubes blancs et entre eux une paroi récemment déplacée, frappe les tubes avec une pelle qui ai trouvé de la droite, ils se sont récemment cassés et frappe la paroi, un après une autre j'ai enlevé des pierres, maintenant s'il l'écoutait, maintenant il écoutait ses coups et elle a dû m'écouter puisque je me nomme. La criez, il voulait qu'il sache qu'il était ils ont, qui ne la laisserait pas, qui jamais l'abandonnerait. J'ai trouvé la porte et enlevez avec davantage de rapidité les pierres qu'ils me manquaient, surveillait l'horloge 6 minutes m'ôtaient. Jetez de la bielle avec le peu de force que je restait et la porte a été ouverte en tombant sur elle qui m'a soutenue en me laissant dans le sol.
- Renee… Ren… qui a faite ? -. Il était côté, ses larmes sont tombées dans ma face
- Lucy…. une seringue….un….une aiguille. Mon corps a senti qu'il ne restait pas beaucoup, je suis immobilisé. - Lu….mon….mon coeur….búscala….ai besoin… que… moi…… les clés… dans le coeur….
- Où celle-ci ? , où ?
Je me lève, il a compris et cherche, il cherchait, et il l'a trouvée collée derrière une des tuyauteries qu'il y avait dans cette petite chambre. Je m'agenouille devant mon et la surveillez aux yeux, j'ai senti que la vie on m'allait, son regard bleu a été dernier ce qui ai vu avant de fermer mes yeux, tandis que sont sortis des mots de mes lèvres…. » Je te veux ».
Mes yeux ont été récemment ouverts, en voyant à Lucy tandis que mo'il retirait la seringue de mon coeur et en la jetant loin de nous. Mon corps je réagis à cette action et ma mobilité a commencé, elle je m'approche en me levant la tête.
- Renee… que démons à passé ? , pourquoi sommes-nous ici ? , Qu'est-ce qu'ai-je injectée ?
- Lu nous devons sortir de d'ici, nous devons aller à la policier, écoute, interdisez, sel de d'ici et appelle et demande aide. Je l'ai demandé tandis qu'il m'incorporait un peu et il me soutenait à la paroi avec son aide
- Mais….
- Ne m'examinez pas… il voit et demande aide
- Courageux, courageux, courageux. _ quelques palmaditas provenir le porte, toutes les deux surveiller. - J'ai jamais pensé sincèrement que l'obtiendrais Renee, mais si… ce es une personne qui combattrais par l'amour, courageux, tu mérites beaucoup la peine, pitié qui non vivantes pendant beaucoup de temps cet amour qui toutes les deux vous avez
- Celui qui des démons es ton ? -. Lucy a été interposé entre son regard et mon corps
- Mon nom je crois qu'il n'a maintenant pas beaucoup d'importance. Il nous a montré un grand couteau
- Bob, il n'est pas juste, ton me tu as dit que si j'arrivais jusqu'ici toutes les deux nous survivrions. Il se lève et placez à Lucy un pas derrière mon, tandis qu'il continuait à parler. - Acuérdate, me tu as dit que…
- Renee… me donnes peine, j'ai jamais pensé que tu me supplierais, si, que vous survivriez à ce jeu, mais je t'ai jamais dit qu'il vous laisserait des vivats. Son noire surveillée je me perfore dans lui plus profond, sa haine je me désarme mais ne mourrait pas ni laisserait mourir à Lucy sans combattre
- Bob, je ne te supplie pas, je te donne une occasion de vivre. Le défiez, j'ai senti la main de Lucy qui moi saisissait la chemise par derrière, tremblait
- Ton… ? , donnes-tu une occasion ? , jaja… je crois que pas celles-ci dans des conditions pour exiger rien Renee
- Dans cela tu te trompes. Ma main dans un mouvement couche une arme qu'il portait dissimule sous mon pantalon dans ma botte gauche, il l'avait saisi quand il me trouvait dans la cave, il était dans le meuble où j'ai lu le carnet de Lucy, il le signale d'avant. - Maintenant quítate de de la porte, déjanos sortir et de personne sortiront des blessés
- Mmmmmm ..... Non, je crois qu'il ne sera pas le plus nécessaire
- Bob…. j'ai jamais tué personne mais je te jure par Dieu qui si tu ne te écartes pas serre le déclencheur sans plus petite contemplation, ainsi… donc ton tu décides. Je l'ai dit avec voix autoritaire tandis qu'il préparait l'arme pour germer
- Lui tu ne vais pas faire, tu n'as pas la colère suffisante. Il se trompait de de toutes les deux, ensuite de toute ma recherche il était tellement mauvais que sans il jette plus du déclencheur, non salio rien. - Allez si tu as eu de la colère, pitié qui ne serait pas chargée. Je m'enseigne un cajita où ils étaient les balles. - Je t'ai vu la prendre par Renee, crois-tu que suis-je tellement stupide comme pour dejarte une arme chargée ? , moi tu déçois Renee, dejémonos de bêtises. Je m'approche et je couvrais le corps de Lucy, devait l'arrêter comme dehors, m'approchez le frapper mais toute ma tentative a été inutile avec un seul coup je cahot et avec son couteau sur mon a commencé à le passer par mon col, par Lucy se fait sur lui mais d'un seul mouvement la retraite en lui frappant la tête dans la paroi. - Siéntelo Renee, sera dernier ce qui consignes dans ta vie, dale merci qu'il ne te laisse pas voir comme je m'amuse avec Lucy après matarte
En ce moment son corps cayo en haut le mien, après avoir écouté un grand coup, me l'enlevez de d'en haut et ai vu à Amy avec la pelle dans la main, il se lève rapidement et m'approchez à Lucy, on trouvait bouche vers le bas, je lui ai donné le retour, ses yeux étaient aturdidos.
- Vamos Lucy, hey…ya acabo todo, cariño, reacciona, por favor-. Il lui touchait la face, il a ouvert ses yeux. - Bonjour belle, comme t'assieds-tu ? -. Je me donne un sourire léger
- Mo' endommage un peu la tête. Ai correspondu son sourire. Amy je m'approche.
- Nous devons s'aller, j'ai déjà demandé aide je ne crois pas qu'ils tardent à arriver. Je m'aide à lever à Lucy, les deux nous la supportions des deux bras
- Merci Amy, je te remercie….
- Vous n'irez à aucune partie. Me tournez et ai vu comme Bob aturdido il s'incorporait tandis qu' il essayait de placer des balles au pistolet
- Vous courez. Les criez. - Nous allons….vous courez… vous ne vous arrêtiez pas. Dépêchez le pas pour sortir de ce lieu terrible, il voulait courir, cela l'était ce qui plus m'importait que les trois nous nous éloignions de ce monstre. Nous sortons et arrivons à la moitié du jardin, devant mon ils allaient Lucy et Amy, surveillez récemment pour en arrière en voyant que Bob courait derrière nous, il s'est arrêté et signale, j'ai étendu mes bras….
- Non….-. Criez au vent… j'ai senti dans mon corps une douleur terrible, une balle mo' avait pénétré l'épaule, suis tombée au sol. VI comme Lucy a voulu retourner chose qui Amy l'a arrêtée déjà en la retenant dans la maison et en fermant ce qui est cerrojos.
- Chien Maldito ! … ni tu crois que tu te vais échapper de de ceci. Bob je me tourne en me jetant de mes cheveux. - Personne ne sera heureux avec elle, jamais….-. Mo'il a introduit un doigt dans la blessure provoquée par la balle, criez de douleur, je me suis senti mourir. - Je vais plus jouir si je le rends avec mes mains propres malheureux
Ai reçu deux forts des coups dans la face, ses mains ont été mises dans mon col en commençant à éviter ma respiration, il l'obtenait, il mettait un terme ma vie, j'ai senti comme m'il s'échappait, il le surveillait tandis qu'il jouissait, non, ne voulait pas mourir entretemps voyait à ce malheureux devant mon, ai fermé mes yeux en visualisant le regard bleu de Lucy, s'il allait mourir il mourrait en pensant une belle mémoire. Ai senti comme la force de ses mains diminuait, ai ouvert mes yeux, derrière Bob, Lucy avec un canon la saisissait avec haine dans son regard.
- Déjala en paix, apártate de d'elle. Il la criait encolerizada, il a obéi. - Pon les mains dans la nuque et quédate de genoux cabron fils de chien, si tu te déplaces tu mourras comme un animal. Sans cesser de le signaler je m'aide à levantarme-. - Celles-ci bien Ren ?
- J'ai perdu du sang, je ne suis pas bien…… -. Mes forces ont décomposé, je me suis soutenu de d'elle
- Ami tranquille, la policier celle-ci en chemin, j'attends déjà…
- Il ne m'importe pas….je sortirai à nouveau, et viendrai par vous
- Cállate… - Cri Lucy tandis qu'il le frappait avec la pointe arrière du canon. - ET ne me provoquez pas pourquoi celles-ci en maison étrangère et je peux matarte s'il me donne le désir
- Nous jouerons à nouveau jaja….mais à cette occasion ses fils seront des protagonistes. Lucy je le signale dans l'avant furieuse
- Non… Lu… non, cela n'en vaut pas la peine
Je l'ai retenue par l'épaule, mais il me dirigeait, mon sang n'arrêtait pas de me sortir, desangraba, ai perdu des forces et suis tombé de nouveau au sol, elle je suis tourné me voir. Bob, je lui enlève l'arme, il allait germer quand sur nous il a volé un couteau. Amy l'avait lancé, ses regards ont été croisés. Je m'approche rapidement et en obtenant le canon, Bob déjà renversé dans le sol.
- Il meurt….il meurt de d'une fois maldito….-. Cri désespérée tandis que je décharge le canon dans le corps de Bob
Ma main on est allé à la face Lucy, de tosí, sang salio de ma bouche, il me manquait l'air, ai senti qu'il était ma fin.
- Maintenant si je peux mourir tranquille, ainsi, en voyant ta belle face. Mes larmes sont sorties
- Tu ne te vais pas mourir Renee, non ainsi affection, tu ne peux pas maintenant me laisser. Je à nouveau, elle je me couvre la blessure avec une partie de sa chemise, il voulait éviter le sang. - Hey… Ren, nous allons, tu dois ponerte bien, nous devons effectuer nos rêves
- Quédate avec cette phrase par toujours… JE T'AIME PRINCESA-. Mes yeux ont été fermés faibles, fatigués.
Il voyait seulement un plafond couleur blanche, nouvelle d'obscurité, de nouveau nouveau d'un plafond blanc, quand il obtiendra visualiser avec exactitude et mes yeux ont été maintenus ouverts, il n'obtenait pas comprendre où il était. Quelques minutes ensuite si l'ai obtenu, côté il y avait une machine, était reliée à à elle, à l'autre côté tenia un sérum mis. C'était une chambre d'hôpital, il se réjouit de réveiller cela il signifiait qu'elle n'était pas morte, qui avait survécu, ne crois-je pas que le ciel était de cette manière ? , sonreí dans mon, on enlève quand la porte de la chambre a été ouverte et j'ai vu à Bob face mon.
- Bonjour ami, je crois que nous laissons quelque chose sans finir certain ?
- Non… il ne peut pas être… ton…. ce mort
- Bon….cela est quelque chose qui peut être modifié
- Non….-. Criez tandis qu'il me coupait les câbles d'oxygène
- Ren tranquille, tranquille, je suis ici, je suis ici contigo-. J'ai senti l'embrassade de Lucy
- Mais….-. Elle était aturdida
- Petite Hey tranquille, celles-ci dans l'hôpital, ne vous préoccupez pas
- Bob… je… il…
- Ou tout je finis, ça a seulement été un rêve, il est mort Ren, Bob, est mort… Amy le tue, tranquille il est déjà tout ou
- Sûre ? … dime Lucy, pas moi…
- Si… l'ai vu….il est mort, tout je finis déjà
- Merci au ciel. Mon embrassade a été maintenue forte, il ne souhaitait pas la laisser, me séparez de d'elle tandis que de nouveau il me renversait dans le lit. - Comme celles-ci ton ami ?
- Ou, grâce à certain toi ou, pour un merci de recevoir la balle par mon, j'aurai jamais comme pagarte, tu t'es risqué beaucoup par mon. Ses pleurs je surgis de ses yeux bleus. - Tu n'as pas dû….non….
- Aurais-elle fait par ?
- Clairement
- Alors, pourquoi par n'allais-elle pas faire ? … Lucy… écoute….quand… bon quand il mourait, bon ai dit des choses qui….en fin je….
- Ou je te comprends Renee, ne vous préoccupez pas pour cette raison, déjà se qui a été une situation radicale et….bon que tu ne te préoccupes pas par rien ami, maintenant il se touche cuidarte et ayudarte jusqu'à ce que tu sortes de….
- Peux-tu laisser parler ? -. La coupe, elle ne pouvait déjà pas faire taire coeur. - Lucy je…
- Mami….-. En criant sont entrés tous les garçons, les mien et ceux Lucy, de Daisy et le reste de famille, elle me écarte de mon en laissant que s'approcheraient les autres, les sonreí.
Ma récupération a été déjà rapide dans une semaine m'avaient envoyée à maison et elle n'était jamais à à seules avec moi, je voulais mais il m'évitait. Il ne comprenait pas le pourquoi, elle m'avait démontré son amour, je l'avais lu, sage de ses sentiments et il ne me laissait maintenant pas parler avec elle. Il me sortait quicio de cette situation et bien que je lui aie demandé de parler, elle avait été jamais présentée par une excuse ou une autre.
Il était déjà passé un mois et était décidée à auquel de ce jour il ne passerait pas d'autre temps. Il la trouverait pour la parler, il aimerait ou non. Je lui ai demandé aide mère avec les garçons pour qu'il se les porte au parc et avec ait apporté Daisy par maison trompée en lui disant qu'il y avait une festivité pour moi. L'écoutez depuis ma chambre quand ils entraient dans la cuisine en laissant des bourses pour la supposée festivité, il baisse rapide et entre. Elle je me salue courtoisement, à à ce qui est égal il a fait Daisy.
- Bon, ici lui je te laisse par Renee-. Me disait entretemps salio de la cuisine en fermant après de de si la porte
- Qui est tout ceci ? -. Je demande étonnée et en voulant sortir après sa fille
- Non… attente. Je l'ai retenue. - Lucy, nous devons parler à à seules, ne crois-tu pas ? -. Elle je m'éloigne en voyant qu'il ne pouvait pas sortir et je surveille au sol. - Lucy… s'il vous plaît… nous sommes adultes, nous devons parler de…
- Renee-. A monté son regard. - Je, non désir parler, suis seulement venue à ta festivité par…
- Lucy, il n'y a aucune festivité, moi l'inventez pourquoi c'était la seule manière que tu viennes parler avec mo'en croyant que nous sommes entourées de gens, pourquoi ? , pourquoi ne veux-tu pas parler avec ? -. Elle je reste en silence, mo'il évitait le regard, m'approchez à à elle. - Mírame Lucy….mírame….contéstame seulement à une question, seulement désir cela et ensuite toi marches….maîtresses ? -. J'ai été directe, il ne voulait pas jouer plus
- Renee… -. Elle j'élève sa face en me surveillant d'avant. - Escúchame….
- Non… je ne veux pas escucharte, seulement désir qui me réponds à ce qui t'ai demandée
- Si moi lui questions ce pourquoi tu as lu dans mon carnet, je veux decirte que cela a été quelque chose que Xena a écrit en se référant à Gabrielle PE….
- Déjate de bêtises Lucy, pas celles-ci fatiguée de toute cette situation ? , de vivre ainsi ? , je ne me réfère ni à Xena, ni à Gabrielle, ni à la série ni rien de de cela, toi je fais une simple question, contéstala et tout finirait
- Ren, est que….
- Il est facile… contéstala-. M'approchez plus à à elle. - Mírame et contéstala-. Je me surveille, ses yeux ont été rougis lentement deux larmes
- Si
- Si, qui ?
- Si je t'aime, je te veux sur ma vie. Je me prends par mes bras apretándolos-. - Mon coeur à bétail raison, je te veux sur toutes les choses. M'élevez lentement pour lui dégager ses lèvres, ces belles lèvres que vers beaucoup de temps il souhaitait embrasser, tiernamente j'ai été correspondu, ses mains ils ont entouré près ma ceinture, en portant mon corps à le sien
- Par lequel avons-nous perdu tout ce temps ? , pourquoi ne voulais-tu pas voir ? , à auquel le crains-tu femme ? -. Il lui disait tandis qu'il m'embrassait à son corps
- À à toi. La surveillez étonnée. - Si amour, je crains de sentir tout cet amour qui te dois se que jamais jamais je ne pourrai me séparer de de toi et cette situation moi retourne folle, je ne veux pas amarte tant
- Celui qui a dit que te vais-tu séparer de mon ? ….lui je ne vais pas permettre si ton mo' acceptes cet amour tout comme
- Je l'accepte. Je m'embrasse et cette fois a été plus passionnelle
Temps au temps nous avons donné lentement à notre amour , nous avons été correspondus par toute notre famille et les amis vrais ont subsisté à notre côté, en soutenant notre décision de notre amour. Un amour qui vivons, un amour que nous sentons, un amour qui a en arrière commencé du temps et que nous avons eu gardé par de nombreuses années d'amitié.

1 comentario:

Anónimo dijo...

Félicitations à ladyaxr pour son grand talent. grâce à des créateurs de ce blog, il ya quelques fautes de frappe, mais les traductions sont bonnes et nous pouvons lire le meilleur de l'histoire. merci

Monic.

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And of course this should not be less, our beloved LadyAxR not only writes FanReal .... if not more. Thanks for sending us the link. Clicking on the cover you can buy his novel.

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